Et Sonnera L'heure

Avec Don Cheadle, Adam Sandler,  Liv Tyler et Jada Pinkett Smith.

A première vue, rien ne sous entend le thème du film, je parle par là du fond, car hormis le titre qui laisse voir un peu plus, difficile de savoir à quoi s'attendre vraiment sans le synopsis.

Et c'est là que ça devient intéressant, car sans ça, se serait-on arrêter pour regarder le film? Peut être pas. Mais le résultat est là, et ce n'est pas sans une certaine curiosité, à savoir comment ils allaient mettre ça en place, pour bien nous faire ressentir l'émotion et l'intensité des personnages que je l'ai visionné. Après Remember Me, qui lui était plus discret quand à la fin et au véritable message du film, celui ci prévient déjà donc dès le synopsis : Un homme revoit un ami perdu de vue depuis quelques années et dont il sait que la famille se trouvait dans un des avions du 11 Septembre. Il cherche donc à renouer le contact et découvre que celui qu'il connaissait n'est vraiment plus ce qu'il était.

Non seulement on découvre le personnage de Charlie, le coeur meurtri et qui semble rester dans sa bulle pour ne plus souffrir, ne plus y penser, du moins en apparence et les changements qui s'opèrent au fur et à mesure en lui, plus il laisse son ami prendre une place dans sa nouvelle existence. Mais aussi l'évolution de ce dit ami, qui parti pour apporter et ramener le Charlie d'avant, se retrouve à remettre en question ce qu'il pensait bien et se rend compte que l'air de rien, rien ne sert à forcer Charlie, à l'obliger contre sa volonté de parler de tout ça, de ce qu'il ressent, mais que le laisser aller à son rythme, en étant juste présent avec quelques petits coup de pouce, un peu comme des minis électrochocs est parfois suffisant. Car Charlie n'est pas autant à l'Ouest que ça et vit à sa manière, du mieux qu'il peut, et si on peut dire, aussi en souvenirs de celles qu'il aimait. Sans oublier que Charlie l'aide aussi à sa manière, avec ses réactions et réflexions, à remettre de l'ordre dans sa vie professionnelle et privée, sur certains points.

J'ai donc bien aimé ce film, qui sans être trop larmoyant, montre bien, avec les réactions des personnages, empreint d'une certaine sincérité, à quel point des faits passés peuvent encore toucher, et qu'ils ne sont pas oubliés, que ce soit par ceux qui les ont vécus, ou ceux qui les ont vus.

Avec Katherine Heigl, Josh Duhamel et Melissa McCarthy.

Petite comédie avec quelques passages larmoyants, et assez prévisible, ça n'enlève rien au fait que c'est assez drôle et que le duo fonctionne plutôt bien. Ca commence fort dès le début avec un rencart organisé par leurs meilleurs amis respectifs, où ils échangent des répliques bien senties, et à la suite de ça, ça continue régulièrement les années suivantes, à chaque occasion quand ils se retrouvent auprès du couple de leurs amis. Et ce jusqu'à un tragique accident, où ils doivent laisser leur vie de coté pour prendre soin de la petite Sophie, désormais orpheline, dont ils sont les parrains et désormais tuteurs et emménagent donc chez elle. Entre jonglage d'emploi du temps, de conseils pour gérer la petite, de leur vie professionnelle qui passe au second plan et des relations qu'ils peuvent avoir en dehors de ça, rien n'est plus simple pour Holly et Messer, qui ne voyaient pas leur vie se dérouler comme ça, et ensemble. Mais pour Sophie, on les voit évoluer ensemble, faisant des efforts ou essayant d'en faire, d'apprendre à cohabiter, à s'occuper de Sophie et de lui offrir la meilleure vie possible. Mais rien n'est simple et parfois, la situation devient très tendue, leurs caractères s'entrechoquent, un léger sadisme ou franchise pointe aussi de temps à autre quand l'autre ne leur est plus supportable et c'est aussi dans ces cas là que le film est touchant, car les voir dépassé, énervé et parfois, perdu fait aussi le charme du film et on se surprend vite à vouloir qu'ils trouvent leur rythme, en se demandant comment ils arriveront à avoir leur équilibre, sans perdre pour autant trop d'eux même. Et c'est le pari réussi à la fin, enfin plus ou moins, car la morale est aussi qu'il faut faire des choix et qu'on ne peut pas tout avoir. Sans oublier que les voisins ne sont pas en reste et apporte leur touche d'humour ou de bon sens.

Avec Chase Crawford, Rory Culkin et 50 Cent, Twelve raconte l'histoire d'un jeune de l'Upper East Side, à New York, devenu dealer d'herbe. Gardant une certaine ligne de conduite pour lui même, son job le mènera à côtoyer des personnes pas très recommandables et une soirée d'anniversaire finira de manière dramatique, quand il se rendra compte que tout n'est pas sans risque, et que tous ne partagent pas sa morale et son sens de l'amitié.

Chase Crawford est là dans un rôle qui peut rappeler celui de Gossip Girl de par sa situation, mais pour ce que j'ai vu de la série, cela s'arrête là. Le personnage de Michael a tout pour lui, ou pourrait l'avoir, mais une partie de lui reste blessé par un événement passé et il a décidé de changer de vie, au moins pour un temps. Mais tout change lorsqu'il apprend la mort de Charlie, son cousin, duquel il était presque inséparable. Jusque là, on voit surtout l'évolution des personnages, des jeunes, tous autant qu'ils sont, un peu perdu, qui se cherchent, parfois malheureusement dans certaines substances, quitte à laisser une partie d'eux même dans l'affaire mais tout s'accélère tout d'un coup quand les deux cotés de la vie de Michael se mélange, avec Molly sa meilleure amie, qui rencontre un de ses amis qu'il fournit. On voit son manque avec son manque d'honnêteté envers elle qu'il perçoit que sa situation laisse à désirer, qu'il la trouve trop bien pour lui et cherche à la préserver, mettant court à leur rendez vous et n'allant pas à la soirée pour ne pas l'y croiser, mais les événements le rattrape et il n'a, façon de parler, pas d'autre choix que de s'y rendre, pour trouver la seule personne capable de l'aider à digérer la nouvelle. Malheureusement cela entrainera une réaction en chaine, où Molly apprendra ce qu'il fait, et où lui aussi apprendra beaucoup sur la mort de Charlie, bien plus qu'il ne l'aurait souhaité.

Le film est assez sympa, quoi que parfois un peu long, mais aussi un peu à la manière de Gossip Girl, montrant la superficialité de certains, qui n'hésitent pas à se vendre en laissant de coté leurs possibilités. On ne voit, si on peut dire que Mike et Molly à la fin, enfin en morale, à savoir quelles leçons ils en ont tirés et comment ils vont évoluer ensuite, mais ce n'est pas plus mal, car si on oublie les morts, les autres n'étaient finalement que peu intéressant, entre une blonde superficielle dont le seul but était que sa soirée soit inoubliable (réussi comme il est dit en off à la fin) et un mannequin défiguré, mais on ne les regrette que peu. Le principal étant dit, que tout finit par se révéler et que toutes nos actions se payent mais aussi qu'il n'est pas trop tard pour se rattraper, même si ce qui a été perdu le restera.

Fraichement divorcée, une jeune femme cherche un appartement pas trop cher pour vivre avec sa fille. Seulement celui qu'elle finit par habiter se révèle rapidement pleins de surprises, entre le plafond qui prend l'eau et des bruits étranges. Absorbé par d'autres choses, elle n'y prête pas attention jusqu'à ce que sa fille ait une amie imaginaire et que le concierge semble cacher un secret. Au final, elle découvre que l'immeuble est hantée par la petite fille qui vivait dans l'appartement du dessus, et dont personne ne s'est inquiété de la disparition quelques mois plus tôt, chacun des parents pensant qu'elle était restée/partie avec l'autre. Elle décide alors de déménager après les troubles du comportements de sa fille et parvient à un accord pour la garde avec son ex mari mais l'esprit n'a pas envie de se retrouver tout seul...

Bon film, assez sympa, mais on se doute rapidement de ce qu'il s'est passé et de comment ça sa évoluer. Mais agréable car pas non plus trop horreur, enfin ça reste assez soft à voir.

Pour qui est né(e) au début des années 80, difficile de passer à coté d'Anne, chanteuse égérie de Disney, pendant un bon nombre d'années.

Dur aussi de l'oublier, ne serait-ce que pour toutes les chansons qu'elle a fait sur nos dessins animés préférés, en plus de la voir à l'époque, chaque dimanche après midi dans Disney Parade. Elle avait alors 12 ans et y resté jusqu'à ses 18 ans, avant de s'envoler ailleurs.

Elle a donc chanté plusieurs chansons des dessins animés de Disney, ainsi que fait un spectacle à l'Olympia en rapport, disponible à l'époque en K7 vidéo et a multiplié les cassettes audios, singles et Cd pour chacun d'entre eux.

Oliver et Compagnie, 1989, marque son lancement chez Disney, après avoir été choriste sur une chanson de Douchka.

Bernard et Bianca, au pays des kangourous, en 1991

Que fera la belle?  Chanson présente sur son 4ème album, en 1992

Mais les a aussi accompagné d'autres chansons, toujours pour enfants, mais sans forcement qu'elles soient liés au thème de l'album.

Dans le bleu

Mais qu'est ce qui m'arrive?

Mais elle a aussi fait des chansons pour les dessins animés du petit écran, avec le générique de Tic et Tac, Rangers du risque.

Mais la petite sirène a bien grandi, changé, et pas mal voyagé. Après les Etats Unis, elle est revenu en France avec la troupe de Notre Dame de Paris, où elle a interprété Fleur de Lys pour quelques dates, puis est partie en Espagne, comme elle le dit elle même dans un reportage de ça se discute.

Bien que certains ont pu la voir et qu'on a pu l'entendre sur certains titres comme Criminel, de garou, elle n'a vraiment repris la chanson qu'en intégrant le groupe Naughty Noise, qui vient de sortir un album où on peut l'entendre sur tous les titres de l'album Sinestesia, ainsi que la voir dans le clip Le secret des anges.

Des Daleks et des Cybermens, il n'en fallait pas moins pour les séparer, et pourtant... mais voici quelques vidéos qui reviennent sur le couple du Docteur et de Rose et sur ce qui leur est arrivé.

J'ai fais un rêve la nuit dernière,

J'ai entendu une voix,

Cette voix disait mon nom...

Docteur...

3 frères, 2 soeurs, c'est de cela que se compose à première vue la famille Walker, mais il ne faut pas oublier leur mère, car son rôle dans la famille est des plus importants. C'est autour d'elle que l'air de rien, tourne sa petite famille, ainsi que ses petits enfants, c'est elle qui est toujours là pour les épauler, les aider, et qui n'hésite pas à dire ce qu'elle pense, gêne dont tous ses enfants ont hérités, et qu'on peut voir lors de chaque réunion de famille. Malgré qu'ils soient tous soudés, ils connaissent aussi les difficultés, avec la guerre qui les a touché de près, les secrets de famille, avec la découverte d'un enfant illégitime, la stérilité, et bien d'autres choses, car dans les familles nombreuses, les problèmes manquent encore moins. Mais c'est loin d'être triste, car tous s'en tirent finalement toujours très bien, et savent s'entraider dans les moments difficiles, même si ils voient souvent les choses différemment, en cas de crise, ils sont toujours là les uns pour les autres et affrontent les obstacles pour préserver la petite entreprise familiale que leur père a monté.

La saison 3 reprendra le 4 janvier, et on pourra enfin découvrir le 6ème enfant Walker, Ryan, qui rejoindra peut être Kitty, Kevin, Sarah, Justin et Tommy. On peut cependant oser espérer qu'il ne sera pas lui aussi victime des manipulations d'Holly Harper, dont l'unique préoccupation est de faire main base sur l'entreprise familiale, sous couverture de protéger sa fille, Rebecca.

Enfin diffusé sur M6, j'en ai profité pour le voir, aimant particulièrement le premier mais ayant été refroidi par certaines critiques à l'égart du second.

Mais d'abord, un petit rappel du 1 :

Et bien, je me demande encore pourquoi j'ai tardé autant à le regarder, déjà pour un argument de taille, Diego Luna, qui est loin d'être désagréable à regarder, puis pour Patrick Swayze, qui fait quelques apparitions en tant que professeur de danse.

1958, La Havane, à Cuba, bien loin du petit club paradisiaque du Dirty Dancing 1, ici la révolution couve, et la présence des américains y est compromise. Mais la situation des locaux n'est guère mieux. Il n'y a que la façon dont les employés du "club" où réside les américains qui ne change pas, bien qu'il ne soit vu que rapidement, l'histoire se déroule le plus souvent ailleurs, celui ne servant qu'à la mise en place des personnages.

Et puisque parfois quelques photos valent mieux que des mots...

Cela dit, le film était quand même un peu court, et on aurait pu espérer une autre fin, non pas qui fini bien car ça aurait pu être pire pour eux, mais au moins de les voir gagner le concours, et pourquoi pas rester ensemble un minimum de temps, au lieu de voir partir la famille américaine aussi vite qu'elle était venue.

Si une série sera bien présente sur le blog, c'est celle là. En attendant, je ne parlerais pas vraiment de la série, mais de ce qui y a attrait. Je parle par là de Doctor Who Exhibition, situé entre autres, à Londres.

Voici une petite vidéo du "Doctor" et du Tardis, prise lors de ma visite de l'expo.

J'aurais préféré le vrai, mais il trouvait que c'était trop bruyant. J'y ai aussi croisé Un Cybermen, des Daleks, vu Cassandra et Face2bo, Rose, ainsi que d'autres décors et personnages.

Assez sympa, l'expo vaut le détour si vous passez dans le coin, sans compter les nombreuses informations qu'on y apprend sur la série, que ce soit celle de 63 ou de 2005. Et puis pour finir, le passage par la boutique de l'expo remplie de produits dérivés divers.

Saison 15

Je n'ai que peu suivi les saisons précédentes, hormis la 13, donc les personnages me sont un peu étrangers, ce n'est pas difficile de ne pas se laisser entraîner par la série quand on la regarde mais malgré tout, elle reste agréable à suivre, et sympa à regarder. Dans le saison première, on peut voir à quel point tout peut changer très rapidement, et qu'il suffit parfois d'un banal accident, enfin qui aurait pu l'être, pour chambouler tout un service. Ce n'est pas non plus surprenant, car les urgentistes, internes ou autres, auxquels il arrive des malheurs, on avait déjà vu au fil des saisons, mais comme ça, d'un coup, surtout avec l'espoir qu'on faisait entrevoir, et cela dès le début, ça a de quoi surprendre. Même si on final, on peut sentir un coté blasé en reprenant leurs vies comme avant. Mais c'est sans compter un nouveau chef de service, pas commode, et des petits étudiants fraichement débarqués. Avec ce vent de fraicheur, le travail n'est d'autant plus pas de tout repos, et ils mettront quand même du temps à s'en remettre, avec en plus leurs vies personnelles et sentimentales qui s'en mêlent. Jalousies, secrets, histoires de coeurs sont avant tout au centre de tout et cela ne leur rend pas la vie plus facile. On voit aussi qu'il y a toujours des effets secondaires à tout, que tout ce qui se passe joue sur leur comportement, et qu'il faut toujours passer par quelque part pour avancer, comme le dit la chef des Urgences : il faut avoir tuer un patient pour devenir un bon médecin. Et l'expérience ne les empêche pas de faire des erreurs, face à une situation pas toujours prévisible, ils essayent juste de faire au mieux en récoltant un maximum de données pour émettre un diagnostic.